Je garderai le souvenir de sa joue, à la peau un peu fripée, mais si douce…
Je garderai le souvenir de l’odeur des frites quand on mangeait enfant chez elle le samedi midi…
Je garderai aussi le souvenir de ses râleries parce qu’on ne venait pas assez souvent…
Mais je garderai surtout le souvenir de sa joie quand elle voyait les garçons…
Je ne sais pas si il existe un ailleurs, j’ai bien du mal à y croire en fait, mais ce que j’espère c’est que tu y es bien …